Unbroken, Melody Grace

Résumé :

Juliet est tombée folle amoureuse d'Emerson l'été de ses 18 ans dans la maison appartenant à ses parents en bord de mer. Après une relation passionnelle, le beau ténébreux la laisse tomber subitement. Quatre ans plus tard, Juliet a poursuivi ses études, surmonté tant bien que mal cet abandon et construit une relation équilibrée avec un garçon très bien, gentil et attentionné. Ses relations avec sa famille ne sont pas au beau fixe depuis qu'elle a perdu sa mère, autre cicatrice encore ouverte, mais elle refuse d'y penser et s'est forgé une carapace protectrice en se murant dans l'oubli et en avalant cachet sur cachet. Quand son père veut vendre la maison de la plage, Juliet y retourne trier ses affaires et, comme elle le craignait, croise Emerson qui habite toujours là. Un simple regard et toute la passion ressurgit subitement. Sincère ou manipulateur, Emerson va tout faire pour récupérer la jeune fille, aux prises avec un dilemme déchirant : choisir entre les deux garçons…


Avis :

Quatre ans après le décès de sa mère, Juliet retourne dans leur maison de vacances de Cedar Cove afin de la vider pour la vente. L’endroit est plein de souvenirs et elle redoute d’y retrouver Emerson, le garçon qui lui a brisé le cœur cette même année. La jeune femme pensait ses blessures guéries grâce à l’équilibre que lui apporte Daniel, son fiancé, pourtant, quand elle se retrouve face à Emerson, elle se rend rapidement compte qu’elle n’a pas été au bout de ce qu’elle pouvait vivre avec lui. Mais entre le confort que lui apporte Daniel et la fougue d’Emerson, Juliet est perdue et ne sait plus où elle en est.

Je ne sais pas si c’est à force de lire des romances new adult et que je m’en lasse, ou si c’est cette histoire qui était banale à pleurer, mais j’ai eu du mal à me passionner pour se triangle amoureux sans grand enjeu si suspense. L’intrigue est cousue de fil blanc, au fil des pages le lecteur anticipe les réactions des différents protagonistes et, même si la bluette est mignonnette, elle ne casse franchement pas trois pattes à un canard. À lire si vous êtes fan absolu du genre ou si vous n’avez rien de plus passionnant sous la main.


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