Beautiful player, Christina Lauren

Résumé :

Will, un séducteur notoire, trader à Wall Street, est chargé par son ami d’enfance, de sortir la jeune sœur de celui-ci, de son cocon académique.
Hannah, une surdouée des sciences, aussi intelligente que sexy, emménage à New York, pour terminer son master. Le Casanova invétéré et célibataire endurci, tombe sous le charme de la jeune nerd de 24 ans, aussi innocente que diablement séduisante. Va-t-il, à son tour, parvenir à lui prouver qu’il est pour elle l’homme idéal ?


Avis :

Hanna « Ziggy » Bergstrom est une geekette investie à fond dans ses études et son job. Tant et si bien qu’elle ne fait rien d’autre. Pas de temps pour les loisirs ni les amis, encore moins pour une romance. Quand son frère, Jensen, décide que cette situation a trop duré, il lui demande de contacter son ami d’enfance, Will, qui habite aussi Manhattan, pour que ce dernier lui présente des amis et la pousse à sortir. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que Will et Hanna soient attirés l’un vers l’autre.


Après Bennett, la terreur des petites culottes (je ne m’en suis pas remise, il sait combien ça coûte ces petites choses ?!) et Max l’exhibitionniste, place à Will, le marathonien. Ben oui, il court, le jogging est sa religion (même s’il a bien sûr des maîtresses, on est un play-boy ou on ne l’est pas !) et il compte bien convertir la petite Ziggy que lui a confié son meilleur ami. Chose étonnante, il se passe au moins cent pages sans prouesses sexuelles, et je crois que c’est en partie ce qui m’a conquise. Beautiful player est certes une romance érotique, mais laisse la part belle à l’amitié qui unit d’abord les deux protagonistes. Moins de sexe, davantage de temps laissé au développement de la romance, j’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à suivre la relation entre Max et Hanna, surtout que j’ai trouvé cet opus largement moins cru et vulgaire que les précédents. Les scènes hot sont bien sûr présentes, mais s’inscrivent mieux dans l’histoire, je n’ai pas eu l’impression de scènes de fesses gratuites (genre il y a un quota à caser), et si toutes les romances érotiques étaient sur ce modèle, j’en lirais sans doute plus. Une vraie réussite qui surpasse les opus précédents, j’en redemande !

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