Nom de code Digit, Annabel Monaghan


Résumé :

Farah Higgins, surnommée Digit, se donne beaucoup de mal pour cacher à tout le monde qu'elle est un génie des maths. Elle est promise à un brillant avenir, mais en attendant, elle entend bien terminer le lycée comme une fille "normale".
Un jour, alors qu'elle regarde la télévision, Farah remarque qu'une série de chiffres défile en bas de l'écran. Inconsciemment, elle parvient à décoder la séquence et, quand une attaque terroriste survient à New York, la jeune fille fait tout de suite le lien. Farah décide d'enquêter elle-même et, bientôt, sa vie est menacée. Parviendra-t-elle à convaincre le FBI de la prendre au sérieux ? Ce qui est certain, c'est qu'elle aura du mal à se faire passer pour une fille "normale" après ça !


Avis :

Voilà un roman dont je n’avais pas entendu parler, et je suis bien contente que ma médiathèque en ait fait l’acquisition, sinon je serais passée à côté. Nom de code : Digit est un thriller young-adult ayant pour héroïne une lycéenne, Farrah, surdouée de son état, ayant un don particulier avec les chiffres qu’elle ne peut s’empêcher d’assembler, de manipuler mentalement. En regardant une série télévisée elle va voir un code chiffré inséré au générique, le déchiffrer et se retrouver embarquée  bien malgré elle dans une histoire de terrorisme et d’espionnage. Placée sous protection du F.B.I. en la personne de John Bennett, la jeune fille va l’aider à résoudre l’enquête, et plus si affinités. 
De l’action, de l’humour et un zeste de romance, ou comment passer un agréable moment avec une lecture rafraîchissante et sans prise de tête. L’intrigue est plaisante, certes sans casser trois pattes à un canard, les personnages sont mignons comme tout, il y a de l’action, une petite histoire d’amour plutôt mal engagée mais qui ne sombre pas dans la mièvrerie, et surtout les réflexions, silencieuses ou pas, de Farrah qui font mouche avec son petit côté sarcastique. Loin du surnaturel et des romans policiers à l’ambiance glauque, Nom de code : Digit vous aérera les neurones le temps d’une après-midi.



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